Le Premier ministre syrien Mohammad Ghazi al Jalali a déclaré que son pays devrait organiser des élections libres afin que les Syriens puissent choisir leurs dirigeants. Mais cela nécessitera une transition en douceur dans un pays où les intérêts sont complexes et divergents, allant des islamistes aux groupes liés aux Etats-Unis, à la Russie et à la Turquie.